Où ça faisait longtemps que j'avais pas râlé
C'est pas l'envie qui m'en manque pourtant. Mais, comme les personnes sur qui j'ai envie de hurler lisent ce blog, je peux difficilement me lâcher ici. Ou alors il faut que je code mon message : l'autre connard de **** a rien trouvé de meiux à faire que ****** à *****.
Mais bon, vous en conviendrez c'est quand même pas très drôle à lire et même à écrire c'est plutôt frustrant.
La seule chose de drôle dans cette intro c'est que tous mes proches vont psychoter : "Mais de qui elle parle ??? De moi ???". Oui, c'est de toi que je parle, oui toi !
Puisque je ne peux pas parler de ces personnes là, autant parler de ma journée d'hier.
Hier, donc, conférence à Paris. Ca me soule un peu, mais ça sera une bonne occase de voir ma pote Laurence avec qui j'ai fait ma formation.
Première difficulté : mon train part à 6h32, ce qui implique que je dois me lever à 5h20, si je veux avoir le temps de retrouver un visage humain.
Je suis crevée et je passe les 3h de train à dormir.
J'arrive à Paris, saute dans un taxi et arrive in extremis pour le début de la conférence.
La journée se passe bien même si :
Mais bon, vous en conviendrez c'est quand même pas très drôle à lire et même à écrire c'est plutôt frustrant.
La seule chose de drôle dans cette intro c'est que tous mes proches vont psychoter : "Mais de qui elle parle ??? De moi ???". Oui, c'est de toi que je parle, oui toi !
Puisque je ne peux pas parler de ces personnes là, autant parler de ma journée d'hier.
Hier, donc, conférence à Paris. Ca me soule un peu, mais ça sera une bonne occase de voir ma pote Laurence avec qui j'ai fait ma formation.
Première difficulté : mon train part à 6h32, ce qui implique que je dois me lever à 5h20, si je veux avoir le temps de retrouver un visage humain.
Je suis crevée et je passe les 3h de train à dormir.
J'arrive à Paris, saute dans un taxi et arrive in extremis pour le début de la conférence.
La journée se passe bien même si :
- j'ai sommeil
- il fait froid
- on a pas de vrais pause déj, juste un plateau repas (fauchon svp, ce qui ne l'empêche pas d'être insipide) ingurgités autour de la table de réunion.
Du coup, pas le temps de réserver un taxi pour mon retour. J'appelle Chéri et lui demande de le faire pour moi. Il me rappelle en m'indiquant qu'aucun taxi n'accepte de résa vu que nous somme le jour d"un départ de vacances. Il faudra donc les contacter 20 min avant le départ.... Grrrrr.
Les autres superviseur rejoignent leur gare en metro, mais moi, j'ai entretien et je partirai donc après eux.
Hors de question que je me lance seule dans l'aventure du métro : j'y comprends rien et ça me fait peur pauvre petite provinciale que je suis (pis c'est tellement bien les taxis!!!).
Je finis donc ma journée et appelle une compagnie de taxis.
Apres 15 minutes de la lettre à Elise, j'obtiens enfin une dame qui me trouve un taxi : une 407 gris metallisé. 15 minutes après, j'ai vu défiler la moitié des taxis parisiens et je vois une 407 métallisé. Une blonde lui fait signe, le gars s'arrête et elle monte dans la voiture.
Argh, me suis fait piqué mon taxi !
Je rappelle le standard : non c'était pas lui, le mien est retardé mais il arrive.
J'essaie d'appeler Chéri pour qu'il me sorte quand même l'itinéraire via metro au cas où mon taxi ne serait pas la dans les 10 minutes, mais Chéri, comme d'hab, n'a plus de batteries et je tombe sur son répondeur ( Note pour plus tard : lui greffer le cordon d'alim autour du cou).
Au moment où j'appelleMmôman pour qu'elle me téléguide, mon taxi apparait.
Ouf, sauvée, bien que je risque l'asphyxie, Monsieur Mon Chauffeur ayant manifestement quelques soucis de sudation...
J'arrive à la gare, grimpe dans le train et m'envoie deux cachets de Nautamine pour être bien pour le voyage... Me souviens plus s'il faut prendre un ou deux cachets...
Il fallait en prendre un.
Avec deux, j'ai la sensation de flotter, je dors, quand je tente d'ouvrir les yeux, je sens une chappe de plomb, bref, je me suis droguée je crois. Oups.
Envie de pipi, il me reste une heure dans le train, je ne tiendrai jamais, je me lève et le train fais une embardée (bon ok, une embardée c'est un peu fort comme terme, mais bref, il penche) et malgrè mes efforts, je manque de tomber sur un charmant jeune homme. Je me rattrappe, et au final je lui colle mes eins sur sa figure. Ca n'a pas l'air de trople gêner.
Enfin, j'arrive à Bordeaux, les effets du médicament perdurent et je lutte contre le sommeil dans le taxi.
Je pousse la porte de l'appart, qui, soit dit en passant à des allures de Beyrouth, je n'ai mêem pas la force d'avaler quoique ce soit et je fonce me coucher... pour 11h de dodo !
Je pensais pas que la Nautamine faisait cet effet là, même maintenant, soit 16h après l'ingestion des médocs, je me sens comme dans du coton.
Et dire qu'il y en a qui dépense un fric monstre en drogues...
Deux Nautamine et c'est le bonheur assuré ;-)
Les autres superviseur rejoignent leur gare en metro, mais moi, j'ai entretien et je partirai donc après eux.
Hors de question que je me lance seule dans l'aventure du métro : j'y comprends rien et ça me fait peur pauvre petite provinciale que je suis (pis c'est tellement bien les taxis!!!).
Je finis donc ma journée et appelle une compagnie de taxis.
Apres 15 minutes de la lettre à Elise, j'obtiens enfin une dame qui me trouve un taxi : une 407 gris metallisé. 15 minutes après, j'ai vu défiler la moitié des taxis parisiens et je vois une 407 métallisé. Une blonde lui fait signe, le gars s'arrête et elle monte dans la voiture.
Argh, me suis fait piqué mon taxi !
Je rappelle le standard : non c'était pas lui, le mien est retardé mais il arrive.
J'essaie d'appeler Chéri pour qu'il me sorte quand même l'itinéraire via metro au cas où mon taxi ne serait pas la dans les 10 minutes, mais Chéri, comme d'hab, n'a plus de batteries et je tombe sur son répondeur ( Note pour plus tard : lui greffer le cordon d'alim autour du cou).
Au moment où j'appelleMmôman pour qu'elle me téléguide, mon taxi apparait.
Ouf, sauvée, bien que je risque l'asphyxie, Monsieur Mon Chauffeur ayant manifestement quelques soucis de sudation...
J'arrive à la gare, grimpe dans le train et m'envoie deux cachets de Nautamine pour être bien pour le voyage... Me souviens plus s'il faut prendre un ou deux cachets...
Il fallait en prendre un.
Avec deux, j'ai la sensation de flotter, je dors, quand je tente d'ouvrir les yeux, je sens une chappe de plomb, bref, je me suis droguée je crois. Oups.
Envie de pipi, il me reste une heure dans le train, je ne tiendrai jamais, je me lève et le train fais une embardée (bon ok, une embardée c'est un peu fort comme terme, mais bref, il penche) et malgrè mes efforts, je manque de tomber sur un charmant jeune homme. Je me rattrappe, et au final je lui colle mes eins sur sa figure. Ca n'a pas l'air de trople gêner.
Enfin, j'arrive à Bordeaux, les effets du médicament perdurent et je lutte contre le sommeil dans le taxi.
Je pousse la porte de l'appart, qui, soit dit en passant à des allures de Beyrouth, je n'ai mêem pas la force d'avaler quoique ce soit et je fonce me coucher... pour 11h de dodo !
Je pensais pas que la Nautamine faisait cet effet là, même maintenant, soit 16h après l'ingestion des médocs, je me sens comme dans du coton.
Et dire qu'il y en a qui dépense un fric monstre en drogues...
Deux Nautamine et c'est le bonheur assuré ;-)
2 commentaires:
Coucou.
Me revoilà
Désolé, j'ai bien essayé mais je n'y arrive plus.
Je suis de retour régulièrement sur ton blog, et je me tords toujours autant la beuille à te lire
Je vais tâcher de ne pas être trop long pour ne pas essuyer de reproche
Et si je gêne tant que ça, tant pis, je jetterai cette adresse et tous les petits moments sympas que j'y ai passé...
Jaco44, a plus
rhôôôôô mah non jaco faut pas le prendre comme ça !!
bon en tous cas suis bien contente que tu postes à nouveau ça faisait bien longtemps !!!
Julie l'exilée
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